J'arrive devant un paysage peuplé de moutons
qui se dirigent en direction de la montagne.
C'est vert, très vert. Je me sens bien, un léger
vent frais passe par là, je ferme ma veste. Ici l'odeur
de l'herbe séchée règne. Le paysage brumeux
ne m'aide pas à voir les moutons que je reconnais grâce à leur
trace de couleurs teintent par par leur berger. Au loin, un mouton
seul tel un soleil la journée, tel une lumière la
nuit.
Les moutons rassemblés ressemblent aux arbres dans une forêt.
On m'appelle, je m'en vais mais j'éspere que je reviendrai.
Clémence